Maîtresse Keina est une femme dominatrice.
Sa grâce naturelle force le respect et incite à se prosterner.
Elle n'a aucune tolérance pour les sujets manquant de courtoisie.
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Qui est-elle ?
- Maîtresse Keina
- Paris, France
- Une femme de caractère prenant un plaisir certain à rappeler au sexe masculin qu'il est inférieur en tous points.
Tanya Cheex
cavalière
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3 commentaires:
Divine maîtresse kaina, depuis mon adolescence je rêve d’être soumis et d’exécuter les moindres désirs d’une femme.
Grâce à vous, ce rêve est exhaussé car le jour où j’ai fait votre rencontre j’ai su que c’était vous la déesse que je voudrais appartenir et servir. Je serais votre chose et je vous obéirais afin d’honorer votre beauté divine ainsi que votre bonneté à me torturer.
Maîtresse, je vous implore pour que vous m’initiez au plaisir de l’humiliation et que vous me dressiez afin que je prenne pleinement conscience de la superiorité féminine.
Maîtresse, merci d’avoir exister . je serais toujours l’un de vos plus grand admirateur. Si vous me le permettez, je vous baise tendrement les pieds.your slave momo
Merci Maitresse,
j'ai passe un excellent moment avec vous
votre sourire est ravageur
denis
A Maîtresse Keina
De claqus, un soumis tetaclaques
J'ai eu la chance d'avoir été "sa chose" à plusieurs reprises.
D'une beauté incroyable, elle a été très dure avec moi. A chaque fois qu'elle me donnait l'ordre de venir, c'était pour faire le ménage chez elle.
Il fallait toujours la perfection. Sinon elle me faisait recommencer. C'est très dur de la servir, ça se mérite. Et j'en ai bavé. Puis je devais améliorer mes services. J'avais du mal à tout retenir.
Alors comme elle adorait me gifler, elle me faisait venir, je devais tendre mes joues ! C'était un vrai supplice. Elle me mettait des gifles monumentales. Puis elle laissait reposer mes joues et donnait un coup de téléphone. Après, elle recommençait de plus belle. Parfois je regrettais d'avoir des joues aussi fermes.
J'étais furieux sur le coup. Et je n'avais qu'une peur, c'était qu'elle recommance une autre série encore plus sonore et impitayable.
Après, il faut reconnaître que je retenais mieux les instructions et j'étais plus efficace pendant le service. J'étais plus rapide ausssi. Il ne se passe pas un jour sans que je ne pense à l'une de ses fessées. Ca faisait mal bien sûr, je suis très douillet. Mais ce sont de sacrés souvenirs ! Rien ne vaut les gifles de Maîtresse Keina.
Tête à claques claqus
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